📌 Notes du Danemark
Dans le cadre de mon travail, je suis parti pour la ville de Tønder au Danemark juste après Pâques.
Le voyage a été assez long – d'abord en voiture de Krāslava à Jelgava, puis quelques heures de sommeil, afin d'être à l'aéroport de Riga vers 5 heures du matin, prendre un vol pour Copenhague puis pour Billund, suivi d'un bus pour Esbjerg et d'un train pour Tønder.
Le Danemark semblait très tranquille, paisible, souriant et ouvert. Du moins cette partie, loin de l'agitation de la grande ville – pleine de belles plaines de terre noire, de fermes animales, de petites maisons et de jardins compacts joliment alignés les uns à côté des autres, presque comme s'ils se tenaient par la main. Le Danemark est un pays où les gens ne cachent pas leur vie quotidienne derrière des rideaux, et ils n'attendent pas que l'âge laisse sa marque avec une démarche courbée – ils prennent soin de leur bien-être à temps.
Je ne suis pas le genre de personne qui se souvient des faits des histoires d'un guide touristique, mais ce dont je me souviens, ce sont les nombreuses portes d'entrée uniques avec des fentes à lettres affichant de manière ornée les noms des propriétaires, une boutique de souvenirs avec des dizaines de pièces sur les trois étages où je me suis senti comme une petite fille dans un magasin de bonbons, et le silence paisible mélangé aux rires et aux sourires des gens sur une terrasse.
Voudrais-je vivre au Danemark ? Non – même si c'est probablement l'un des pays les plus heureux du monde. J'ai encore besoin d'un peu d'étincelle, d'un peu de précipitation et de tranchant, pour pouvoir échapper au silence paisible de temps en temps et vraiment l'apprécier.
Pour l'hébergement pendant le voyage, j'ai séjourné à l'Hôtel Tønderhus (3*). Bien que je ne sois pas difficile, je choisirais probablement un autre hôtel la prochaine fois. Dans l'ensemble, ce n'était pas mal – la chambre était spacieuse, avec un couloir et une salle de bain privée, et j'avais une vue sur la ville d'un point de vue plus élevé. Cependant, la propreté laissait à désirer, et les colocataires à huit pattes n'étaient pas exactement une surprise bienvenue.
Le voyage de retour a été tout aussi long, sinon plus – train, bus, vol de Billund à Varsovie puis de Varsovie à Riga, et je devais encore me rendre à Jelgava. À la fin du carrousel, il y avait un rapide récapitulatif vidéo, mettant en vedette mon visage fatigué errant dans l'aéroport de Varsovie, et un visage encore plus épuisé le lendemain matin après seulement trois heures de sommeil, maintenant sauvegardé dans l'archive de mon téléphone.
p.s. LOT Airlines a été une expérience étonnamment agréable ✈️
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